15 novembre 2007

Ouf.

Il était temps.
Je suis ENFIN étudiante officielle de la TU Dresden - ce qui signifie avant tout que je bénéficie des transports gratuits jusqu'à la frontière tchèque. Adieu les journées à 7 euros pour aller bosser, la fraude dans le tram et la parano à chaque fois que deux types un peu baraqués montaient dans ma rame...
Signe ou pas signe? Au bout de ma première heure "en règle"... j'ai été contrôlée.
Ma carte d'étudiante étant moins glamour que celle de Leipzig, je ne vous gonflerai pas avec à mon retour à Noël - vous êtes déçus, je le sens. Je ferai peut-être un effort, si vous insistez...

Le second ouf c'est mon salaire, qui m'a enfin été versé. Jamais je n'ai été aussi euphorique en voyant l'état de mon compte - ne croyez pas que cela soit dû au montant, il ne dépasse pas trois chiffres. C'est simplement que je vais pouvoir retourner au cinéma, manger un peu moins de pâtes et payer des coups à tous les gens qui m'en payent depuis deux mois.

(et éventuellement m'abonner au "Zeit", m'acheter des bottes, dévaliser tous les magasins de la Pragerstr., inviter les assistants à manger, aller passer quelques jours à Leipzig, Berlin, Prague, Cracovie, Paris, l'Europe et pourquoi pas le monde entier, hein, après tout...)

NB: deux nouveaux venus dans les liens: le blog de Louise, assistante à Bielefeld (ville de Dr Oetker ou ville qui n'existe pas, c'est selon les légendes) , et celui d'Albine, assistante à Leipzig et cuisinière à ses heures perdues- plein de recettes terribles à chiper sur son blog...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Aux usages de tes richesses, j'ajouterai celui-ci : n'hésite pas à m'offrir du chocolat au lait et aux noisettes. G.